Dans cet épisode, je partage ce que j’ai gardé en tête pour faire face aux périodes difficiles, pour traverser les baisses de moral sans abandonner en restant coûte que coûte convaincue que je pouvais y arriver.
Identifier ses besoins :
Pour moi, cela voulait dire dormir suffisamment et donc me coucher tôt, et garder le plaisir intellectuel. Dès que je m’ennuyais, je changeais pour travailler quelque chose qui me passionnait. Ca tombe bien, il y a tellement de choses à découvrir pour les écrits et les oraux de ce concours qu’on n’a jamais fini d’explorer les programmes.
Identifier ses ressources :
Identifier ses ressources : Quelles sont les personnes sur lesquelles vous pouvez vous appuyer ? Celles qui vont vous rendre service, celles qui vont vous remonter le moral… Pour moi il s’agissait de mon conjoint et de quelques collègues au soutien infaillible qui avaient un vrai don pour me redonner confiance. Des lieux, des activités ou des musiques peuvent aussi être des ressources, aider à faire redescendre le stress ou à se remotiver les jours de découragement. Vous pouvez partager en commentaire les musiques qui vous remontent le moral à coup sûr !
Garder à l’esprit ses motivations :
Parfois, on oublie pourquoi on a décidé de se lancer dans cette folle aventure de préparation de concours. S’en rappeler, si besoin l’écrire ou l’enregistrer aide à ne pas baisser les bras pendant les périodes difficiles. Et pour beaucoup d’entre nous, la motivation intellectuelle est très importante, donc gardons à l’esprit qu’il nous faut profiter de cette année de concours !
Se projeter :
M’imaginer réussir à été très important pour moi. Visualiser mon nom sur publinet, visualiser mon passage à l’oral avant même les écrits, a aidé mon cerveau à imaginer que ce scénario était possible.
Identifier et rejeter ses pensées limitantes :
Identifier ses pensées limitantes et refuser d’y croire. Ce point découle du précédent. Bien sûr, je me disais souvent que j’étais incapable de réussir ce concours, que les autres étaient meilleurs que moi… mais je savais identifier ces pensées et les mettre à distance.
Et enfin…
- Accepter qu’on fait tous ce que l’on peut, c’est-à-dire bien moins que ce qu’on voudrait faire
- et malgré cela, ne jamais abandonner : sur un malentendu, (et grâce à toutes vos qualités) ça peut marcher !